Une mise en Garde | Ft Écureuil

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Patte de Brume & Ecureuil

Rochers du Soleil

La chaleur de la nouvelle saison se faisait ressentir, par conséquent le guerrier gris clair en avait plus que marre de rester au campement à ne rien faire de bien intéressant. Il enviait les mentors avec leur apprenti, lui aussi un jour il entraînera un jeune à devenir le plus redoutable des guerriers. Patte de Brume se leva de sa litière de mousse fraiche, tout en s'ébrouant le corps entier enlevant ainsi les brindilles sèche coller à sa fourrure. Il se passa un rapide coup de langue le long de son flanc et sortit de la tanière des guerriers. Secouant sa tête en sortant, il prit quelques secondes afin de s'habituer à la lumière extérieure. Il regarda les alentours, il ne fit pas alors grande réflexion et sortit du campement pour aller se dégourdir les pattes près de la frontière.

Il prit alors la décision de se diriger vers les rocher du soleil, du moins la seule parti qu'il pouvait accéder vu que les vermines de la Rivière on réussit à prendre les rocher du soleil, qui reviennent de droit au Clan du Tonnerre. Sur son chemin, il sentit l'odeur fine d'un écureuil, il prit le temps alors de s'arrêter et de prendre sa position de chasseur pour sauter sur cette proie. Il l'acheva alors après quelques secondes et l'enterra non loin d'un grand arbre. Patte de Brume continua sa route vers les rocher du soleil, destiné à voir si le marquage des vermines est récent, s'il en croise un, il lui ferait bien goûter ses griffes, même si c'est contre le code du guerrier. Patte de Brume n'en avait rien à faire, même s'il respectait les règles, les rochers du soleil appartiendraient toujours au Clan du Tonnerre.

Patte de Brume arriva au Rocher du Soleil, il regarda les alentours, ses sens à l'affût d'un quelconque bruit, il resta alors proche d'un buisson fixant le côté appartenant à la Rivière. Il vient alors se poser sur un rocher proche de la frontière, ne la franchissant pas.

Il rêvassait alors légèrement, quand il entendit alors un bruissement venant de l'autre côté de la frontière, il se dressa sur ses pattes tout en remuant ses vibrisses.

- Oh ! Tiens, mais voilà une vermine de la Rivière. Lâcha-t-il d'un souffle froid entre ses crocs, des paroles presque incompréhensibles, mais il se voulait compréhensible envers le matou qui arrivait près de lui.

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