Ciel de Nuit || Guerrier

Aujourd'hui,  
Presque tous les arbres avaient commencé à se défaire de leur parure verte,  
Pour de nouvelles couleurs flamboyantes,  
Se préparant avec regret à la saison des repos qui les attendaient.  
La force et la détermination qui les habitaient les abandonnaient un peu plus chaque jour,  
Au même rythme que commençai à tomber leurs feuilles sur le sol.  
Dans quelque temps leurs corps,  
Deviendrai nu, gris, froid et triste.  
Ils se résigneraient à traverser une autre mauvaise saison.  
Comme si cela ne suffirait pas,  
Les sifflements du vent,  
Qui se faufilerait entre leurs branches et ferais tomber les feuilles qui leurs restais, Rappellerais à tous,  
Que certains n'étaient pas équipés pour la saison avenir.  
Oui,  
On était bien cruel avec eux et la vie leur était bien difficile.  
Mais pourtant malgré les sombres moments à venir,  
Tout près dans le camp du clan de la rivière,  
L'un des plus grands miracles de ce monde venait de se produire,  
Oui malgré la sombre saison qui approchait,  
Le miracle de la vie était là.  
Deux chatons étaient nés,  
Deux frères.  
Le plus costaud des deux se nommait Petite Nuit un petit chaton borgne de naissance,  
Le plus chétif Petit Bois un pauvre chaton au destin tragique.  
Avec leurs venus dans ce monde,  
Viendrai des moments de bonheur.  
Oui,  
Des moments heureux,  
Mais aussi des moments difficiles.  
Ces chatons pour l’un des deux boules de poils,

Auront,  
Une vis à la fois bien heureuse,  
Mais aussi difficile.  
Les deux grandiront sens vraiment se soucier de ce qui les attendras plus loin dans la vie.  
Le petit avait hâte de grandir et rêvais de fonder une famille.  
L’autre rêvait plutôt à un jour ou Son ti frère comme il le nommait serait en meilleure santé,  
Ce qui malheureusement ne ce produit pas.  
Les jours passèrent et la mauvaise saison arriva.  
Le gibier lui,  
Partit avec le beau temps.  

La mauvaise saison finie par partir.  
Le beau temps revenu et le gibier de nouveau dans les forêts.  
Le bonheur et la joie un-peux partout.  
Soff dans quelque endroit comme dans la pouponnière du clan de la rivière ou les deux petit n’étais finalement plus qu’un...
La mauvaise saison avait eu raison du plus chétif des deux,  
Qui n'était malheureusement plus de ce monde.  

Petit Bois n'avait été,  
Qu'amours à donner et amour à partager!  
Malheureusement,  
Son cœur plein de bonté,  
N'avais u que triste amitié...
Du grand amour trop jeune il a été privé!
Pauvre petit cœur,  
Dépossédé,  
Qui n'avait été que bonté...
Pauvre de lui,  
Qui était découragé!
Il avait vu son dernier moment arriver...

De l'espoir son frère petite Nuit avait été privé!
Aux jours nouveaux avec son frère il ne pouvait penser...

Son ti frère croyait qu'il aurait peur au moment de la fin,  
Mais ce n'était pas le cas...
Il était serein,  
Calme et en paix avec lui-même.
Enfin,  
Presque...
Il croyait qu'il verrait des choses,  
Mais non.  
Aucun souvenir particulièrement agréable n'apparaissait dans son esprit.  
Pas même un qui serait vraiment désagréable.  
Enfin,  
Si...
Il percevait peut-être des pleurs et quelque mot d'adieux.  
Mais n'arrivait pas à les entendre clairement.

Quand son frère avait fermé les yeux,  
Petite Nuit avait pris conscience qu'en ce moment même,  
Alors que les paupières de son frère se fermaient...  
Que son cœur cessait aussi de battre...
Oui,  
Il avait pris conscience a qu'elle point son frère allait lui manquer,  
Et c'était ça qui avait été douloureux et effrayant.  
Il avait senti son cœur se vidée,  
Comme s'il ne ressentait plus rien...  

Même avec le temps et les nombreuses saisons qui avaient passé,
De son baptême d'apprenti, de son long apprentissage parsemer d'embûches, de son baptême de guerrier et après de nombreuses lunes à servir son clan,
Oui après de nombreuses chasses et patrouilles...
Oui même après tout ceci...
Son cœur n'avait pas réussi à oublier le vide qu'avait laissé la mort de son frère dans son cœur, de même pour la mort de ses parents qui n'avaient pas vraiment arrangée les choses.
Mais pourtant il se forçait tout de même à continuer,
Oui a continuer à chercher quelque chose ou quelqu'un qui pourrait un jour guérir son cœur.